Situé dans les Royaumes fabuleux du Nord et du Sud et regroupant 8 races fantastiques différentes d’hommes et de créatures légendaires, L’Aube d’un nouveau jour sera l’aventure GN de toute une vie...votre vie !

Découvrez ici le scénario de notre aventure GN...

AU TOUT DÉBUT...

«Assis sur le rebord de ma couche je me remémore les moments de mon passé ainsi que ceux de mon peuple. Un passé rempli de cris, de peur, de haine, de souffrance ainsi que de mort. Malgré les difficultés plusieurs alliances entre les races ont été créées».

Laissez- moi, Roi Elrhoyr du Royaume du Nord vous raconter comment tout ceci s’est passé :

(10 ans plus tôt)

«Mon père me réveilla en sursaut afin de me prévenir que la cloche d’alarme du bastion sonnait à répétition. Quand je me suis levé pour aller regarder par la fenêtre j’ai constaté avec horreur que le bastion était en feu. J’ai couru dans le dépôt d’arme pour prendre mon équipement, j’ai constaté avec satisfaction que le gros de l’armée était déjà à cheval, prête à attendre les ordres. Nous sommes partis en direction du bastion au galop, à mi-chemin, nous commençâmes à comprendre l’étendue des dégâts... des murs détruits, des maisons en feu, des hommes et des femmes qui couraient dans tous les sens. Le plus terrifiant s’’est quand j’ai vu l’armée adverse, des hordes de gobelins, des tribus entières d’orcs, des hommes exilés de leur terre ainsi que les féroces démons (d’anciens hommes qui avaient trop abusé de la magie noir au point que leur yeux étaient devenus noirs comme la nuit et leur peau, rouge comme les flammes de l’enfer) des êtres incontrôlables et finalement, un cavalier noir solitaire connu sous le nom d’Algor le tueur de race un être avide de pouvoir.

 

C’est à ce moment, que j’ai compris que nos chances de gagner étaient nulles mais nous devions reprendre le bastion même si la mort devait tous nous emporter. Mon père le Roi du nord fit se que jamais un roi n’avait fait avant lui. Il nous ordonna d’une voix forte «RETRAIT RETOURNEZ À LA CITADELLE». Tout le monde fut sous le choc mais nous compriment son choix.

Pendant les jours qui suivirent, nous regardâmes avec tristesse les restes du bastion qui fût un jour le nôtre. C’est avec colère que je suis allé voir mon père pour qu’il m’explique sa décision, pourquoi avoir abandonné les nôtres. Dans la salle du trône, je le vit discuter avec trois personnes, c’était les ambassadeurs des grands royaumes, il avait Zarog le fils du Roi du sud notre allié le plus puissant, grâce à leur talent de guerrier, il y avait Agrilaz l’ambassadeur nain, des tailleurs de pierres hors du commun, sans oublier Vàna l’ambassadrice elfe, grands experts de la fabrication de potions. Les quatre étaient en train de discuter de la meilleure tactique de défense à adopter ainsi que du rassemblement des troupes dans la citadelle. Quand la réunion se termina, mon père me dit qu’il ne nous restait plus qu’à attendre …..

Les jours, les semaines, les mois passèrent sans qu’Algor ne donne signe de vie mais je savais qu’un jour nous le reverrions. Plus le temps passait, plus ils avaient d’hommes, de nains et d’elfes qui arrivaient dans la citadelle. Le moral des troupes remonta, certains en vinrent même à espérer...

Un an jour pour jour après la prise du bastion, nous le vîmes enfin, un homme chevauchant un cheval noir nous regardait juché sur la montagne. Il leva un doigt dans notre direction et le passa sous sa gorge un signe pour nous dire que notre heure était arrivée. Le sol trembla sous la charge de l’ennemi, nos hommes coururent de part et d’autre dans toutes les directions, les archers tiraient leurs flèches sans arrêt pendant que nos hommes ainsi que nos alliés se réunissaient près du portail, prêts à subir le choc des armes de nos ennemis. Les démons tranchaient les hommes en deux de la tête aux pieds comme un couteau dans le beurre, les bâtiments s’écroulaient, se fût la panique totale. Mon père cria d’une voix forte «Pas de panique, tant que nous serons unis personne ne pourra nous tuer». La guerre faisait rage partout, en voyant Algor approcher de mon père je couru pour lui venir en aide après tout, je croyais qu’il serait plus facile de tuer notre ennemi à deux plutôt qu’à un seul.

Algor balança sa masse dans notre direction je l’ai bloqué avec mon bouclier mais le choc fut si violent que le sol en trembla. Le coup suivant toucha mon père à la tête, la seule chose que j’attendis fut le son sec de sa nuque qui éclatait en miettes. Je pris mon épée à deux mains et dans un cri de rage je lui enfonçai dans le crâne. Algor tomba sur le sol, j’ai regardé autour de moi et m’écriai d’une voix forte «Hommes du Nord avec moi, repoussons-les hors de notre cité».Pendant que je livrais combat, les Hommes du Sud c’étaient réunis autour du cadavre d’Algor pour vérifier que le tyran était bel et bien mort. Il se passa alors un grand malheur pour ces hommes car le sol commença par trembler et ensuite un épais nuage noir sortit directement du cadavre d’Algor et se nuage se transforma en un démon gigantesque armé de deux épées plus noires qu’une nuit sans d’étoile. Le démon commença par frapper les Hommes du Sud et ils moururent l’un après l’autre jusqu’à ce qu’il ne reste plus que Zarog et une poignée d’hommes et soudainement, aussi rapidement qu’il était apparu, le démon disparu dans un bruit sourd. Le prince Zarog, sous le choc, rassembla ses hommes et quitta aussitôt le champ de bataille vers sa cité avec l’affreux pressentiment que le malheur avait frappé là-bas aussi.

Cela fait maintenant cinq ans que nous avons vécu ces tristes jours. Pour tenter de réparer les choses avec le Royaume du Sud, j’organise un somptueux banquet en l’honneur de notre victoire et j’espère que l’on pourra renouer les liens qui jadis nous unissaient afin de faire renaître une forte alliance entre nos deux royaumes...»

Journal d'Elrhoyr

Compte rendu fidèle des événements se déroulant au

Royaume du Nord...

Acte 1 : Les Retrouvailles

Enfin le grand jour est arrivé, je supervise les préparatifs pour le grand banquet de ce soir. Les serviteurs ont installé les étendards de tous les peuples du Royaume du Nord, dans un ordre très précis bien-sûr, les plus grands ont été placé à l’endroit précis où moi et Zarog allons prendre place. Les musiciens préparent leurs spectacles et mes hommes armés enfilent leur plus beaux habits, enfin il ne reste plus qu’à attendre l’arrivée des invités…

Les nobles arrivèrent par dizaines et avant d’avoir accès à la Grande salle ils doivent tous subir une inspection minutieuse pour être certain qu’aucune arme ne réussit à pénétrer la salle… Certains invités se sont pointés armés et ont dû être repoussés mais pour le moment rien de très grave. Quand les derniers invités prirent place un homme tout vêtu de noir se glissa subtilement derrière le capitaine de la garde et essaya de lui voler sa dague. Le capitaine, grâce à son entrainement,  arrêta le geste de l’individu et demanda l’aide de ces hommes. Pour moi se fût là, une démonstration du savoir-faire et de la puissance des soldats du Nord, rien de mieux pour épater la galerie.

Un violent coup fût frapper à la porte arrière, j’envoyai immédiatement mon crieur personnel voir ce qui se tramait. Avant même que mon homme puisse arriver à la porte, elle s’ouvrit dans un élan de vitesse. C’est à ce moment-là que trois hommes en armure et armés rentrèrent d’un pas décidé et que l’on aperçut Zarog le Roi du Sud et sa garde personnelle (Barthelemy son garde du corps ainsi que le Grand Général de son armée). Le crieur annonçant le Roi et la salle tomba dans le silence le plus total, Zarog se rapprocha de moi et plongea son regarde dans mes yeux. Il me dit d’une voix claire :

« Merci de m’avoir invité, quelle accueil formidable... Bon quand est-ce que l’on mange ? Moi et mes hommes avons faim ! ».

J’ai aussitôt demandé aux invités de prendre place ainsi qu’à mes invités d’honneur (une lignée de combattants d’élite), les conviant à se joindre à notre table. Les serveuses et serveurs distribuaient l’entrée aux invités alors que mon crieur ainsi qu’Éléonore commençaient à raconter l’histoire glorieuse de mon Royaume ainsi que les récits tragiques de la dernière guerre.  Ils furent interrompus par un sorcier maléfique apparu derrière la barrière de sécurité, mes hommes s’élancèrent pour l’arrêter alors que ce dernier  prononça une incantation qui eut pour effet de faire tressaillir les gardes qui tombèrent par terre,  tous inconscients.  Une chance que mon mage était prêt à l’attaque…il lança une barrière de protection sur la table d’honneur pour que le sort du sorcier n’atteigne pas sa cible. Ce fût un échange de sorts des plus complexes aux plus simples que s’échangèrent ce sorcier et mon mage pour que finalement mon mage l’emporte. Une fois le sorcier assommé, Zarog envoya son général le reconduire dans les catacombes avec l’aide d’un soldat qui avait repris conscience. La soirée se poursuivi de plus belle, le vin et la bière coulaient à flot le repas principal était un délice, comme toujours la cuisinière faisait des merveilles.  Le seul autre incident qui marqua la soirée fût l’arrestation musclée d’un mystérieux personnage que l’on surnomme le Corbeau, il était arrivé armé et n’a pas voulu obéir aux ordres des gardes qui voulaient lui prendre son épée et ses dagues…

Au même moment où nous allions couper le gâteau une mystérieuse Dame se présenta au beau milieu de la salle, se plaça devant Zarog, mis un genou à terre et dit

« Mon seigneur, j’ai un présent pour vous ! » Elle sorti de sa cape une arme qu’elle pausa sur ses mains pour la présenter un Roi du Sud.

Zarog prit cette arme qui ressemblait à une épée de la meilleure qualité, une arme comme il n’en avait jamais vue. Il l’examina, la soupesa et répondit avec un sourire des plus nobles.

« Comment pourrais-je refuser le présent d’une si charmante demoiselle. À partir d’aujourd’hui cette épée sera le symbole de ma royauté. J’espère que vous allez rester pour que l’on puisse faire plus ample connaissance. »

La mystérieuse Dame le salua et disparu au grand étonnement de tous. Vint ensuite l’heure des tournois de dagues, d’arcs ainsi que d’épées… ce fût très divertissant et surtout très amusant de voir les enfants se mêler aux adultes.  Nous avons eu beaucoup de plaisir et à ma grande surprise même Zarog riait avec ses hommes. Ça m’a permis de croire qu’un meilleur avenir était encore possible. Les trois gagnants reçurent leur prix, la soirée tirait à sa fin quand Zarog arriva à grand pas vers moi et me bouscula en hurlant :

« JE VEUX MES TERRES! OÙ SON LES TERRES PROMISES PAR FEU  VOTRE PÈRE? »

Il m’empoigna par ma tunique, mit une dague sous ma gorge et me menaça de me couper la tête si je ne répondais pas. Mes gardes essayèrent de me protéger mais furent aussitôt bloqués par Barthelemy et le Général. Finalement les trois partirent dans un vacarme assourdissant et laissèrent derrière eux une ambiance des plus chaotiques. Qu’est qui c’est passer ???

 

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